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3 commentaires
David
Belle écriture pour un témoignage si juste.
marcel
Merci Olivier. Heureusement que tu es là pour m’encourager!
SEDA Ibrahim
Belle lecture sur cette aristocratie méprisante, il n’y a pas que mes cousins mahorais qui en subissent les mépris de ces princes sans pain, des grands comoriens appelé washendzi ou watrwana, des descendants des anciens esclaves en subissent aussi leur part de d’indifférence de la part des sultans sans pain. Cette société est en déconstruction mais personne ne veut l’admettre, tout le monde fait semblant d’aimer l’autre, de vivre en harmonie avec l’autre alors qu’en réalité c’est du théâtre ou chacun fait l’effort de jouer le rôle attribué par ses parents et la famille ou la lignée qu’il descend. Dans le terme «grand» on ressent déjà la supériorité supposée du grand comorien qui par son arrogance voudrais que tous les comoriens soient à ses pattes poilues😂. Parlant de moi personnellement, ma femme n’est pas la bienvenue dans ma famille car j’ai choisi celle qui ne les conviendra jamais, elle n’est pas d’une famille princière ou descendant du prophète Mohammad et tous les magnégné qui vont avec, et on me l’a fait savoir par l’intermédiaire d’une de mes nièces, qui est très méritante de son statut de méprisante car issue de deux familles nobles de la Grande-Comore et d’Anjouan, elle n’est ni mshendzi ni m’matsaha. Tu dois encore et encore creuser pour trouver la source de cette déconstruction archipelique des Comores. Où chacun porte bien son masque dans ce grand bal des sultans sans pain et des makoua sans racines.
De toutes les façons comme l’a si bien dit Cheikh Isonko un fou originaire du Nord Est de la Grande Comores, nous sommes tous des Wadjahazi, des gens du boutre, personne n’a germé de ces terres volcaniques. On est tous chez nous.
Belle écriture pour un témoignage si juste.
Merci Olivier. Heureusement que tu es là pour m’encourager!
Belle lecture sur cette aristocratie méprisante, il n’y a pas que mes cousins mahorais qui en subissent les mépris de ces princes sans pain, des grands comoriens appelé washendzi ou watrwana, des descendants des anciens esclaves en subissent aussi leur part de d’indifférence de la part des sultans sans pain. Cette société est en déconstruction mais personne ne veut l’admettre, tout le monde fait semblant d’aimer l’autre, de vivre en harmonie avec l’autre alors qu’en réalité c’est du théâtre ou chacun fait l’effort de jouer le rôle attribué par ses parents et la famille ou la lignée qu’il descend. Dans le terme «grand» on ressent déjà la supériorité supposée du grand comorien qui par son arrogance voudrais que tous les comoriens soient à ses pattes poilues😂. Parlant de moi personnellement, ma femme n’est pas la bienvenue dans ma famille car j’ai choisi celle qui ne les conviendra jamais, elle n’est pas d’une famille princière ou descendant du prophète Mohammad et tous les magnégné qui vont avec, et on me l’a fait savoir par l’intermédiaire d’une de mes nièces, qui est très méritante de son statut de méprisante car issue de deux familles nobles de la Grande-Comore et d’Anjouan, elle n’est ni mshendzi ni m’matsaha. Tu dois encore et encore creuser pour trouver la source de cette déconstruction archipelique des Comores. Où chacun porte bien son masque dans ce grand bal des sultans sans pain et des makoua sans racines.
De toutes les façons comme l’a si bien dit Cheikh Isonko un fou originaire du Nord Est de la Grande Comores, nous sommes tous des Wadjahazi, des gens du boutre, personne n’a germé de ces terres volcaniques. On est tous chez nous.